Le Martin Pêcheur à portée d'objectif.

Ce matin, c'est le chant du Merle noir qui m'a réveillé, y a pire comme sonnerie 😜

Un peu plus tard, il glanait dans le jardin, à la recherche de quelques vers de terre qui serviront sans doute à nourrir sa progéniture.

Observer ce Merle noir m'a donné l'envie d'aller à la rencontre du Martin Pêcheur d'Europe.

Aller savoir pourquoi, même moi, je ne le sais pas ?

Une fois de plus je rejoins ma rivière favorite, l'Arroux, sur les traces du Martin Pêcheur.

Depuis le début de l'année, je ne l'ais pas trop chercher, j'ai préféré m'asseoir sur mes acquis.

Le premier à arriver est le mâle, au loin dans une végétation bien dense, mais le bec bien remplis.

Vue la taille du poisson, les petits Martins Pêcheur ne doivent pas être loin de quitter le cocon familiale.

L'arrivée de la femelle me le confirme.

Avec elle aussi, dans son bec, un poisson de très belle taille. Elle multipliera les allers et venues toujours avec un poisson.

Le mâle ne fera que passer sans jamais s'arrêter, mais non sans oublier de me siffler à chacun de ses passages

Madame à été très sympa avec moi et m'a offert une belle proximité en me laissant entrer dans son intimité.

Bientôt les jeunes vont quitter le nid et déserter la rivière pour des étangs non loin plus facile à pêcher.

Moins craintif, les jeunes Martins Pêcheur s'approchent au plus près et multiplie les plongeons si l'ont sait ou se placer et se faire disparaitre. L'occasion pour moi de perfectionner cette technique.